INVITATION

Invitation “Δήμητρα/Pachamama”

COMMUNIQUE DE PRESSE

Δήμητρα/Pachamama

 

Exposition des artistes Anastasia Zoé SOULIOTOU et Victorino FLORES

17 – 23 mars 2014

Vernissage le 18 mars à 19h00

Inspirés par deux mythes de leur pays d’origine, la Grèce et le Pérou, Anastasia Zoé Souliotou, plasticienne, et Victorino Flores, photographe, présentent à l’Espace Cinko à Paris Δήμητρα/Pachamama,  exposition de peinture et de photographie.

Le mythe grec ancien Δήμητρα (Déméter) et le mythe des Incas Pachamama sont liés aux déesses de fertilité qui gouvernent la terre. Elles sont toutes  deux « mères de la terre », signification venant de l’analyse étymologique de leurs noms [Γη (terre) + μήτηρ (mère) = Δήμητρα et pacha (terre, monde) + mama (mère) = Pachamama]. Même s’il s’agit de mythes de deux grandes civilisations anciennes géographiquement  et temporellement éloignées, ces mythes Δήμητρα et Pachamama présentent de grandes similitudes.

Alors que les incarnations des mythes de Δήμητρα et Pachamama sont des déesses, les protagonistes de l’exposition Δήμητρα/Pachamama sont des  femmes. L’exposition rend hommage à la femme, à sa beauté qu’elle soit intellectuelle, à la femme qu’on rencontre quotidiennement sur tous les fronts, celui  de la création, de la vie quotidienne, qui lutte inlassablement dans la solidarité ou la conquête du  pouvoir, une femme bien éloignée des stéréotypes traditionnels.

Au carrefour des arts et des civilisations : deux mythes, deux expressions artistiques, peinture et photographie, deux civilisations anciennes dialoguent au sein de l’exposition Δήμητρα/Pachamama.

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Anastasia Zoé SOULIOTOU

Anastasia Zoé SOULIOTOU est plasticienne d’origine grecque. Elle vit et travaille entre Paris et Athènes. Elle est installée à Paris depuis 2011 où elle fait son doctorat en Arts et Technologies de l’Image à l’Université Paris VIII (Directeur de recherche : Alain LIORET). Ses expositions personnelles sont nombreuses : « Trilogie des Métros : Métro de Paris, Métro d’Athènes et London Tube » à la Fondation Hellénique à Paris (2013),  « Athènes et Londres : intersection des METRO-pôles » au Centre Hellénique de Londres (2011) et « Métro » au Centre Culturel de Nea Ionia Magnisias en Grèce avec parallèlement une exposition numérique sur des écrans installés dans toutes les stations du Métro d’ Athènes (2009). Elle a aussi exposé son travail au sein d’expositions collectives, festivals et congrès d’art dans plusieurs pays : France, Royaume Uni, Etats-Unis, Chine, Chypre, Argentine, Grèce, Serbie, République tchèque, Pays-Bas.

Dans cette exposition Δήμητρα/Pachamama Anastasia Zoé Souliotou présente son travail récent. Il s’agit de peintures qui évoquent un urbanisme poétique dont la femme est le centre. Inspirée par la ville de Paris, le jeu des langues (français, grec, latin) et la carte du monde, elle illustre et/ou commente les mythes de Δήμητρα et de la Pachamama.

Pachamama

Anastasia Zoé SOULIOTOU, Île-de-Pachamama, gouache sur toile, 5.15m X 2.40m, 2013

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Victorino FLORES

Originaire du Pérou, Victorino Flores a fait des études de cinéma et de sciences politiques à Paris VIII. Il est devenu un membre actif et inconditionnel du CIVD° et de L’AMAP. Il a participé à de nombreux projets graphiques, photographiques et vidéo pour des festivals et à des productions audiovisuelles. Il a été le directeur artistique d’Aella Foto y Cine Latino, du Festival del Pueblo, de Ritmo Latino et divers festivals de cinéma latino-américain à Paris.  Sa vocation de  cameraman lui a donné l’occasion de parcourir une partie de la planète.

A l’occasion de l’exposition Δήμητρα/Pachamama Victorino FLORES présente une série de photos de femmes.

Δήμητρα est une création inspirée du travail imaginaire à partir d’images et de visuels de la vie quotidienne de la femme d’aujourd’hui. « Qu’il s’agisse  de Dimitrovich ou de  la Louis et une Trocme que martèle jour à jour les visuels de nos jours. D’El Obbadi  avec son regard profond plein d’espoir,  d’une Madre pachamama tout près de Gutierrez, qui tout frais sort de la terre bétonnée du 94. Des Elenis Karachontziti(s), des déesses et des harems de Troie couverts de Charalampopoulou (s) et Souliotou(s) pleins de grâce de Grèce. » dit-il en jouant avec les noms de ses modèles.

Victorino Flores, "Pachamama Fadwa", photographie, 2 x 1.45 m, 2013

Victorino Flores, “Pachamama Fadwa”, photographie, 2 x 1.45 m, 2013

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